Session: C-213 Le givrage atmosphérique et ses effets sur les équipements des réseaux électriques.
ALLOCUTION D'OUVERTURE DE M. FARZANEH
Mme Louise Milot, vice-présidente à l'enseignement
et à la recherche de l'Université du Québec
M. Jean-François Moreau, doyen des études supérieures
et de la recherche à l'Université du Québec à Chicoutimi
Distingués invités
Chers collègues
Mesdames et Messieurs,
Permettez-moi, tout d'abord, de vous souhaiter la plus cordiale bienvenue à ce colloque sur le givrage atmosphérique
et ses effets sur les équipements des réseaux électriques, organisé par la Chaire industrielle
CIGELE.
Mon nom est Masoud Farzaneh. Je suis titulaire de la CIGELE et responsable de ce colloque. J'aurai d'ailleurs l'occasion,
lors de cette séance d'ouverture, de vous présenter très brièvement cet organisme de
recherche fondamentale sur le givrage des réseaux électriques.
Mais, auparavant, j'aimerais vous présenter deux invités d'honneur, soit Mme Louise Milot, vice-présidente
à l'enseignement et à la recherche de l'Université du Québec, et M. Jean-François
Moreau, doyen des études supérieures et de la recherche à l'Université du Québec
à Chicoutimi où loge la CIGELE. Malgré leurs nombreuses occupations, ils ont tous deux accepté
bien gentiment notre invitation à vous livrer une brève allocution d'ouverture. Je cède donc
immédiatement la parole à Mme Milot.
Je demande maintenant au doyen Jean-François Moreau de vous livrer son message.
À mon tour, je tiens à vous dire combien je suis heureux de me trouver avec vous, ici, à
l'Université d'Ottawa, pour vous entendre et vous accompagner pendant la durée de ce colloque. Comme
vous avez eu certainement l'occasion de le constater, le programme est très chargé, car nous ne voulions
pas que vous quittiez Ottawa sans avoir acquis la certitude que cette rencontre scientifique aura été
aussi fructueuse qu'agréable.
C'est dans les jours qui ont suivi l'exceptionnelle tempête de verglas de janvier 1998 qu'a germé
l'idée, au sein du Comité scientifique de la Chaire, de tenir un colloque sur le givrage avec l'étroite
collaboration de tous ses partenaires, en particulier avec Hydro-Québec dont la collaboration est essentielle
à la poursuite et au succès de nos travaux.
Nous avons pensé qu'une activité comme celle que nous allons tenir était une occasion privilégiée
pour échanger des points de vue, soulever des questions et faire le point des connaissances que nous avons
acquises sur ce phénomène complexe qu'est le givrage atmosphérique et sur ses effets, souvent
dévastateurs, sur les équipements des réseaux électriques. De même, une activité
de ce genre permet de mieux identifier les lacunes et de planifier les efforts qui doivent être déployés
pour les combler aussi efficacement que possible.
À l'Université du Québec à Chicoutimi, nous croyons fermement que la recherche est
fondamentale dans le domaine du givrage, parce qu'elle permet de trouver des solutions novatrices pour rehausser
la fiabilité des réseaux électriques, surtout lorsque surgissent des conditions de givrage
atmosphérique.
À cette fin, les efforts réunis d'Hydro-Québec et de l'Université du Québec
à Chicoutimi ont permis, depuis maintenant 25 ans, de faire des pas de géant en ce sens. Très
récemment, soit en 1997, on a assisté à la création de la Chaire industrielle CRSNG/Hydro-Québec/UQAC,
entièrement consacrée à des travaux de recherche sur les problèmes de givrage atmosphérique
des équipements des réseaux électriques.
Je me permets d'ajouter que cet organisme de recherche fondamentale, dans sa forme actuelle, est unique au monde.
Il bénéficie d'ailleurs d'une subvention quinquennale du Conseil de recherche en sciences naturelles
et en génie du Canada. C'est pourquoi, avant l'ouverture officielle du colloque, il m'est très agréable
de prendre quelques minutes pour vous présenter cet organisme.
PRÉSENTATION DU PROGRAMME DU COLLOQUE |
Maintenant, j'ai l'honneur de déclarer le colloque officiellement ouvert.